Lire le temps à travers l'air Quand le vent pousse les heures Suivre ce courrant à s'y plaire Et voir en nous même le meilleur Lire le temps à travers l'eau Pour que demain soit hier Revivre les moments les plus beau Pour ne jamais s'en défaire Refrain : C'est lors de ces soirs de pleine lune Oû je repense à tous ces jours passés Je me rends rends compte que depuis le début J'aurais dû en profiter J'aurais dû en profiter Voir la grandeur des petites choses Des petits jours comme tout les autres Que chaque moment devienne grandiose jouire du beau temps auprès des notres Écrire des poêmes sur l’amour Pour se vider, de toute la haine Chanter des mots, des mots d’amour Pour vider le coeur, de ses peines Refrain : C'est lors de ces soirs de pleine lune Oû je repense à tous ces jours passés Je me rends rends compte que depuis le début J'aurais dû en profiter J'aurais dû en profiter Solo Refrain: x2 Ce soir, c'est la pleine lune Et de tout les jours passé Je me rends compte que depuis le début J'aurais du en profiter.. J'aurais du en profier

Je commencerais par dire Que je t'aime depuis longtemps On en a vécus des fous rires Et versés des larmes par moments Mais la je le sais, je comprends C'était juste le bon vieux temps Je devrais peut-être pas M'en faire autant Une relation trop normal Pour ce que c'était au fond Même si l'amour fait mal Et que ça me fait perdre la raison Je vais t'avouer, que j'y croyais Mais ça fait parti de la vie Pour toi je vais garder mon sourire Tant qu'on reste amis Refrain: Si un jour, tu devais partir Parce que ton coeur ne fait que te mentir Je suis conscient que ce serait le mieux pour toi Parce que l'amour c'est plus que ça Si tu t'en vas, je te retiendrai pas Je suis pas la pour forcer les choses Même si je comprends pas tout Et que dans ma tête c'était comme en prose C'est peut-être moi qui devenais fou L'amour c'est fort, mais même à tort Je te laisserai pas dans l'oubli je te souhaite que ce que tu vaut Même si j'en fais pas parti Refrain : Si un jour, tu devais partir Parce que ton coeur ne fait que te mentir Je suis conscient que ce serait le mieux pour toi Parce que l'amour c'est plus que ça Si tu t'en vas, je te retiendrai pas Quand tes yeux s'échapaient des miens Je sentais que c'était pareil pour ton coeur Mais que ça vienne de moi ou non Ce que je veux pour toi c'est ton bonheur Pour m'apaiser, je vais décrocher Pi remettre l'amour à plus tard Pour toi, je suis prêt à me séparer En espérant que j'en ressorte plus fort Refrain: Donc si un jour, tu devais partir Parce que ton coeur ne fait que te mentir Je suis conscient que ce serait le mieux pour toi Parce que l'amour c'est plus que ça) Si tu t'en vas, je te retiendrai pas ) X2 Je terminerais en disant Que c'est sure que je t'aimerai encore Donc si jamais tu repasses devant mon appartement Passes donc me voir Ça va me faire plaisir de te reparler

Dit moi ce que t'en pense, de tout ces mots Que je pleure quand je chante, que j'étouffe avant l'aube Ces mots doux, ces mots forts, ces mots de réconfort Ceux que je dit tout haut, dit moi si j'en dit trop Dit moi donc ces mots, que je ne peux décrire Qui font fondre mes os, quand tu y glisse un rire Ces petites phrases sans raison, insignifiantes pour d'autres Qui valent trop si au fond, c'est ce qui pense mes maux Refrain : Mais dit moi ce que tu pense, de tout ces petits défaults Qui parraisent quand je danse, qui me prennent de haut Ooooh cette danse, du coeur Celle qui m'a menée à toi, dit moi ce que t'en pense Dis moi ce que tu vois, quand les larmes aux yeux Tu vois que mon regard, s'égard vers les cieux Car ça ne conterait pas, si je partais trop loin Que ma place est avec toi, aujourd'hui et demain Dit moi donc comment, se sentir bien ici Si dans ce monde immense, je me sens si petit Que même avec le temps, tout semble rester de marbre Mais rien n'est plus comme avant, dit moi donc comment Refrain : Mais dit moi ce que tu pense, de tout ces petits defaults Qui parraissent quand je danse, qui me prennent de haut Oooohhhh cette danse , du coeur Celle qui m'a portée vers toi, dit moi ce que t'en pense Dit le moi si ça fait de moi qui je suis dis le moi Dit moi donc comment, se sentir bien ici Si dans ce monde immense, je me sens si petit Que même avec le temps, tout semble rester de marbre Mais rien n'est plus comme avant, dit moi donc comment Refrain : Mais dit moi ce que tu pense, de tout ces petits defaults Qui parraissent quand je chante, et qui me prennent de haut Oooooooh cette danse, du coeur Celle oû tu es dans mes bras, dit moi ce que tu en pense

aaah ah... aaah aah aaah aaah aha ah, aaah aah x2 Je sais que c'est lourd Les temps qui cours Depuis que main dans la main On a suivi l'amour On se sent absent L'un pour l'autre La vie ennivre de contre temps C'est pas vraiment de notre faute aaah ah... aaah aah aaah aaah aha ah, aaah aah Refrain: Je pense qu'on serait dû De se donner la peine Prendre une heure de plus Pour se dire que l'on s'aime Je nous sens perdu Donc avant qu'on se fasse de la peine On se donne une heure de plus Pour se dire que l'on s'aime Le temps fil trop vite À travailler À vouloir payer les bills On arrive à peine à ce coller Mais je t'aime beaucoup Même fatigué Peut-être qu'on devient un vieux couple Malgré notre jeunesse ébranler aaah ah... aaah aah aaah aaah aha ah, aaah aah Refrain Je pense qu'on serait dû De se donner la peine Prendre une heure de plus Pour se dire que l'on s'aime Je nous sens perdu Donc avant qu'on se fasse de la peine On se donne une heure de plus Pour se dire que l'on s'aime aaah ah... aaah aah aaah aaah aha ah, aaah aah X2 Refrain Je pense qu'on serait dû De se donner la peine Prendre une heure de plus Pour se dire que l'on s'aime Je nous sens perdu Donc avant qu'on se fasse de la peine On se donne une heure de plus Pour se dire que l'on s'aime Je pense qu'on serait dû Pour se prendre dans nos bras Laisser tomber les comptes rendu Les pleures, les peines et les combats Je nous sens perdu Donc avant que l’emporte la haine On se donne une heure de plus Pour se dire que l’on s’aime Je pense qu'on serait dû De se donner la peine Prendre une heure de plus Pour se dire que l'on .. s'aime

À 7 ans, je voyais ma mère Faire à mangé dans la cuisine Des petits repas pour l’école Et des plats pour toute la famille Je me disais bien que plus tard Va falloir que je fasses tout ça Des sandwichs pour le travail Et le soupée pour les gars Comme quoi une fois plus vieux T’as les épaules plus lourdes A toujours faire de ton mieux Pour aider ceux qui t’entours Refrains Mais pour là, je voulais juste un 30 sous Pour mettre dans la machine à sous Comme quoi mon bonheur, se contente de ça Rien de mieux pour me faire sourire, que des amandes au chocolat À 10 ans, j’étais tannant Je voulais courir partout Je me souciais pas du temps Et encore moins de l’amours Pendant que mon père travaillait Quasiment à tous les jours Pour être sure que ma petite tête Manque pas d’énergie dans la cour Comme quoi une fois plus vieux Je courerai pour tout payer Avec une femme à la maison Qui me donnera le temps de l’aimer Refrain : Mais pour là, je voulais juste un 30 sous Pour mettre dans la machine à sous Comme quoi mon bonheur, se contente de ça Rien de mieux pour me faire sourire, que des amandes au chocolat Solo Rendu à mes 13 ans Je me suis trouver un job C’est rendu que je faisais mon ménage Et ce qui allait dans ma boite à lunch Comme quoi une fois plus vieux Et ça commence très tôt Il y a qu’à se bouger un peu Et mettre son temps où ce qu’il faut Refrain : Et en plus, je l’ai eu mon 30 sous Pour mettre dans la machine à sou Comme quoi mon bonheur, se contente de ça Rien de mieux pour me faire sourire, que des amandes au chocolat Rien de mieux pour me faire grandir, que des amandes au chocolat Que des amandes au chocolat…

Je suis né dans les terres d'ici Oû j'étais seul, sans mes pareils Quand je suis sortie, j'ai compris Que je voulais toucher le soleil J'ai grandi d'un pas les plus lent Sans pour autant m'arrêter Comme la tortue va de l'avant Je me suis bâtie sans stresser Le soleil me donnait de la force Pour respirer et me ressourcer C'étais comme un meilleur ami Un peu trop loin pour t'écouter Plus le temps passait, plus je m'ennuyais À croître toujours plus haut et droit Mais je gardais fermement ma foie Vers un but trop beau pour être vrai Sans m'en rendre compte, le temps filait Ma place dans ce monde s'est fructifiée Je me suis dit: "Vois le bon côté des choses T'es grandiose et en santé!" Malgré tout, j'étais encore seul Pris dans mon petit coin de pays Puis peu à peu on a construit Autour de moi un bel abri Puis un jour, un petit homme blond Voulait se rafraîchir les idée Sous chaleur de fort rayons De soleil, je l'ai rencontré Son regard était plus que franc Ses yeux remplis de naïveté Tout s'est passés en un instant J'ai découvert l'amitié J'ai fini par m'y attaché Un sourire débordant de bonheur Même le soleil se sentait petit Face à l'empleur de son coeur J'ai décider de lui tendre le bras Pour qu'il puisse enfin s'amuser S'y acrocher et combler de joie À tous les deux nos journées Si seulement le temps passait moins vite J'aurais pus mieux m'en rendre compte Se laissant porter par la vie Mon bras cédait comme ses cheveux blonds Et puis il ne repassait Que quand, d'un coup de nostalgie Et que sa jeunesse lui manquait Mon image l'imprégnait d'un sourire Je me suis tourné vers le soleil Ce vieil ami toujours présent Aujourd'hui prêt à tendre l'oreil À mon histoire gravée dans le temps Malgré toutes ces péripéthies Je resterai un arbre de ville Avec l'espoir que la famille Qu’un petit gars blond... vienne me tenir compagnie

Je m'éforce d'être aimable Avoir du coeur pour ceux qui passent Et pour ceux qui en profites Je laisse le karma faire son travail Puis c'est pas trop long que je m'en lasse Tant que je reste en paix Que je m'écarte de tous mes doutes Et que lorsque je chanterai Je sois sure que quelqu'un m'écoute Refrain : Simpliste, vous me direz Ça se voit tant que ça Je vous mentirez pas Que je suis comme ça Simpliste, vous me direz Pourquoi pas Cest pourtant pas si compliquer La preuve? Écoutez ça J'apprécie la solitude (Ben oui!) Tout autant que le compagnie Un silence de sainitude Ou quelques un de mes frères Pour mettre du piquant dans ma vie J'apprendrai d'hier Et des ereurs Sur mon chemin Je m'appliquerai aujourd'hui Puis pour le reste, on verra demain Refrain : Simpliste, vous me direz Ça se voit tant que ça Je vous mentirez pas Que je suis comme ça Simpliste, vous me direz Pourquoi pas Cest pourtant pas si compliquer La preuve? Écoutez ça J'ai besoin d'air Frais, de sourir franc, et d'une bonne bouffe en passant Le moindre retour de respect, que j'accordes à tous les gens D'un petit appart pour me lever, et boire du lait aux petites heures Sans même le cable pour juger, le bonheur des autres ailleur Je me passerais d'une maison trop grande, que je me perdrais dedans D’une somme d'argent faramineuse, qui meurt au gouvernement Tant que je reste sincère, avec ceux qui m'entoure Ce qui arrive je vais pas m'en faire, puis je ferai un pas devant tout les jours Refrains: Simpliste, vous me direz je vous réponds fièrement je vous mentirez pas que j'aime vivre sans contretemps Je suis simpliste, sans juger Sans chercher les tourments C'est tellement pas compliquer Que ce l'est en même temps

Il y a des années, des dizaines Quand on parlait d’amour La romance et ses peines C’étaient plus fort que tout Le bon temps des attentions Aux promesses tenues Prends un tour d’abandon Une aire dite révolue Envahis par l’abondance Le choix devient facile Autant que la romance Se voit être inutile Pourtant la flame des braises Ne demande qu’un tison Une étincelle qui s’apaise Sur cette flame en extinction Refrain: Je chante ma prière, pour donner raison Que le vrai amour s’ère, en voie d’apparition La simplicité reste Dans ce qui semble perdu Des valeurs et des gestes Qui s’apprennent à la vue Voir la complicité Comme la clé de nos tabous Des efforts à long terme Qui ne tiennent qu’à nous Être fort, être doux Être honnête et lutter Pour garder tous en nous Le respect, la fierté Être franc envers soi Et envers ceux que l’on aime Se permettre pour une fois De récolter ce que l’on s’ème Refrain : Je chante ma prière, pour donner raison Que le vrai amour s’ère, en voie d’apparition Il ne reste que l’espoir Qu’un jour on s’entendes Sur ce que l’on veut croire Pour pouvoir se reprendre Se permettre d’étendre Cette flamme à nos paires Faire fondre la glace Qui englobe nos cœur…

J'ai juste le temps de raconter, l'histoire d'un nomade à tête enflée Sa vie changea du tout au rien, quand il vit clairement son chemin. C'est d'un nomade aux airs perdus, poète de sang aux rêves immenses Il rêve d'une vie trop fantastique, mais sans souci, tout en romance. Gardant le cercle des gens qu'il aime, toujours plus petit à chaque pas De tout mirage de mauvaise foi, il ne vivra jamais la peine. Il avança sans rien, sans but, à crier haut ses métaphores ''Jeunesse seule, être trop ouvert. Finesse au seuil, larme à couvert.'' Le courant naturel du temps emporta avec lui ses écrits Lui déposant une rose des vents sans qu'il le remarque, endormi. Arrêté sur le bord d'un lac, il fouilla donc sa veste, hâtif Pour un morceau de pain en vrac, mais prit la rose et fut surpris ''D'où vient donc une telle merveille'', se dit-il d'un air fasciné ''Que dans ma main le vent me porte ce doux parfum de liberté. De cette chose on m'en a tant dit, moi qui, perdu, je me cherchais. Et que de grands pouvoirs soient pris dans si petit est cet objet. Le mérité-je ? Bien sûr que non ! J'ai trop peu donné à la vie'' Puis le nomade reprit la route, avec en main son nouveau guide. Sceptique de trouver tout facile, il fixa l'objet, enivré Avec ses valeurs trop séniles, mais plus fringant dans les idées Une simple boussole, vitre cassée, sembla soudain porter aisance Surtout pour sa vieille âme brisée, lui inspira tant de confiance. Les yeux rivés sur son pendule, fidèle à l'endroit où pointer D'un regard des plus incrédules, il vit une voie se dessiner Alors d'un coup le bon nomade, sentit monter de tout son fond Une confiance méconnaissable, qui le poussa vers l’horizon Commençant donc par suivre le sud, en quête d'un repos mérité, La rose lui montra le chemin, une pente à-pic et escarpée Mais au bout, il vit une grande plage, donc il courra pour s'y baigner Reposé et la tête légère, il repartit à l'heure première. Il continua son chemin, curieux, en se dirigeant vers l'est Elle voulut lui montrer un jeu où tu apprends ce qui est vrai Son âme et son coeur en ébat s'enrichirent d'un énergie nouvelle Dans les livres jusqu'au lendemain, tête pleine d'idées sur le chemin Une chose lui restait méconnue, ce que c'est en vrai un rêve Alors l'aiguille tourna vers l'ouest et son guide prit la route de fer Pour qu'il observe bien ce que c'est de mettre en pratique son bagage S'faire des idées et les tenir, s'ouvrir et suivre la voie du sage ‘’Des yeux tout grand ouvert, des gouttes de sueur en aval Des coeur meurtri mais qui plus fort, se lève et s'élance en cavale’’ Le nomade fut pris fort au goût, que lui donna toute ces leçons Ce fut ainsi qu'à genoux, il pria pour une vie en amont Maintenant ouvert à suivre le nord, la rose lui montra où passer De grandes falaises et des remords le nomade dut bien traverser ''C'est la route la plus dangereuse'', se dit le nomade, entre deux souffles ''Celle qui, parfois, trop périlleuse, nous inonde de nos peurs et doutes''. Pourtant ses ambitions et choix étaient plus forts qu’un chemin boueux Et la rose des vents, de sa voix, fut présente, tout près, pour le mieux Alors il fouilla dans son coeur, pour se rappeler ce qu'il apprit ''Ce sera toujours derrière la peur que se cache les merveilles de la vie'' D'une main il serra fort la rose, de l'autre, pointa vers l'horizon Fidèle poète il cria haut : ''Vers bon nous semble, nous avancerons. Tel mon offrande, tout en chanson, c’est les vieux chant qui nous guiderons Peu importe la destination, ,seulement demain nous le saurons’’ Il défia donc maintes collines, de grands cours d'eau il traversa Et à chaque pas toujours plus fier, de lui même comme de la rose En s'arrêtant près des rivière, le temps que son corp se repose La vue fut tout aussi sublimes, que la paix des gens qu'il croisa Il s'arrêta quelques moments, pour contempler la joie d’autrui Ceux et celles qui, pot-au-feu, sont confortables de vivre dans leur nid Mais le nomade reste un nomade, surtout avec son précieux guide Il fit volte-face car l'idéal, pour lui, c'est d'être à jamais libre Mon histoire pourrait ne plus se finir. Le nomade avancera toujours Avec la rose des vents comme guide, un peu moins de limites à chaque jour Juste le temps pour finir bien, conclure rapidement ce roman D'un nomade qui, sur son chemin, s'éprit d'amour aux airs du vent.

J'te regarde aller, à bout de soufle Pressé d'aller nul part Je vois qu'il pleut autant dehors Que dans ton petit âme Pourquoi courir imprudement Sous cette pluie qui tombe Peur d'être completement mouillé tu vas finir en trombe ...Laisse cette pluie te guider ...Laisse cette pluie te guider ...Avant que tu doives t'arrêter T'as un grand coeur, mais t'es humain On a tous nos limites Je sais que t'as hâte de relâcher Ce qui tien dans tes mains Arrête de voir toute la forêt Dans laquelle tu te perds Celle avec un sentier simple le long de la rivière ...Laisse toi porter, simplement ...Laisse toi porter, simplement ...Et respire l'air frais lentement Tu devrais juste inspirer Puis expire tes pensées Arrête un peu, lêves les yeux Permet toi de décrocher Plus vite tu cours, plus tu te trempe Dans de mauvaises attentes Pourtant la pluie tombe pas plus vite Pendant ta longue descente Penses-y un peu, reprends ta tête La mer s'en ira pas Elle semble si loin, mais t'inquiète pas Encore elle t'attendra ...Même si tu arrives demain ...Même si tu arrives demain ...Ça change rien au fond Voit les minutes comme des heures Au lieu des heures comme des secondes...